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🧭 Gameplay et sensations

Dès que je relance la compilation, j’ai l’impression de revenir sur un terrain de jeu complètement fou où chaque arme semble sortir d’un esprit malade — et j’adore ça. Le shoot est toujours aussi nerveux, les armes pleuvent toutes les deux minutes, et je me retrouve à comparer des stats comme si j’étais dans un marché noir de Pandore. Borderlands 2 reste la pièce maîtresse niveau sensations, tout est parfaitement calibré, explosif, addictif. The Pre-Sequel est un peu plus aérien avec la gravité lunaire, et ça change vraiment la manière de jouer. Au final, les deux jeux se complètent bien et me donnent exactement ce que je cherche dans la série : du chaos contrôlé.

🎬 Univers et ambiance

Je replonge direct dans cet humour borderline, ce cel-shading qui claque et ces PNJ qui ont l’air de sortir d’un cartoon toxique. C’est un univers que tu reconnais instantanément : délirant, violent, absurde, mais cohérent à sa manière. Borderlands 2 me fait toujours marrer, même après toutes ces années, avec ses punchlines débiles et ses situations improbable. The Pre-Sequel part dans un délire spatial sympathique et éclaire un peu plus le passé de certains persos. C’est l’univers Borderlands pur jus, celui qui ne se prend jamais au sérieux mais qui sait raconter des trucs quand même.

⚙️ Technique et style

Le cel-shading fait le taf mieux que jamais : c’est propre, net, lisible. La compilation tourne bien, les textures sont un peu plus propres que sur les versions d’origine et ça suffit largement pour rendre le tout agréable en 2025. Le style BD donne vraiment une identité forte, et même si certains décors accusent un peu le poids des années, tout reste fluide et confortable. Sur PS5, les chargements accélérés et la stabilité améliorent clairement l’expérience.

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Candyio

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