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Le feu sacré du combat ne s’éteint jamais. Après Andy Bogard, c’est un autre blond légendaire qui vient électriser les arènes de Fatal Fury: City of the Wolves : Ken Masters, en personne, venu tout droit de Street Fighter 6. Une arrivée qui n’a rien d’une première rencontre, puisque Ken et Terry Bogard avaient déjà croisé les gants à l’époque de SNK vs Capcom en 1999. Vingt-cinq ans plus tard, les deux vétérans se retrouvent, avec le sourire de ceux qui n’ont rien perdu de leur mordant.

Et ce Ken-là n’est pas un simple clin d’œil. C’est bien la version Street Fighter 6 qui débarque, avec son style nerveux, ses effets flashy et surtout son Dragonlash Kick, un coup de pied sauté ultra efficace dans les combos. Il débarque avec son kimono rouge iconique et un nouveau stage inédit : un château enneigé évoquant l’arène de Ryu dans Street Fighter II. Une manière élégante de compenser l’absence du vagabond japonais... du moins, pour l’instant.

Mais ce n’est pas tout. En parallèle, Fatal Fury: City of the Wolves s’offre un détour improbable vers l’univers du ballon rond. Cristiano Ronaldo, star du Al-Nassr FC, fait lui aussi son entrée dans le jeu — ou plutôt son rattrapage. Ajouté de manière quelque peu surprenante (et sans doute diplomatique), CR7 recevra enfin un véritable mode Arcade, accompagné d’un Episodes of South Town où l’on pourra le voir déambuler dans un mini-RPG à la sauce SNK. Une extension prévue pour le 15 juillet, même si, avouons-le, les réactions sont pour l’instant... partagées.

Quant à Ken Masters, il est attendu d’ici la fin de l’été, sans date précise. Il ne sera que le premier d’une série de personnages DLC annoncés : Joe Higashi arrivera à l’automne, Chun-Li cet hiver, et Mr. Big viendra ouvrir le bal de 2026. Bonne nouvelle : le premier Season Pass est entièrement gratuit, une aubaine pour les fans.

Entre nostalgie assumée, crossovers audacieux et cascades de contenu, City of the Wolves s’affirme comme bien plus qu’un simple retour aux sources. C’est un hommage vivant à la baston d’antan… avec un soupçon de folie moderne en prime.

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