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Juste prononcer son nom suffit à faire remonter une vague de souvenirs intenses. Ce jeu n’était pas juste un FPS, c’était une révolution, un choc culturel qui a marqué toute une génération de joueurs.Le thème principal de Hans Zimmer ("The Enemy of My Enemy") donnait des frissons. Les dialogues ("50 000 people used to live here… Now it's a ghost town.") restent gravés. Et qui n’a jamais rigolé en lançant une grenade dans le poulailler de "Creek" ?Même les Modern Warfare récents (2019/2022) n’ont pas réussi à capturer la magie brute de ce jeu.sur Overgrown, les "360 no scope" mythiques (ou ratés)… Et le son du "Headshot!" qui récompensait tes exploits.CoD4, c’était plus qu’un jeu, c’était une époque. L’âge d’or des LAN, des "Noob Tube", des nuits blanches sur Search & Destroy… Et aujourd’hui, quand on réécoute "Don't Fire 'Til You See the Whites of Their Eyes", on a tous la même pensée : "Putain, c’était le bon temps."

J.B

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J.B c'est vous ??? Vous signez des textes "copiés-collés", avec vos initiales, qui ne sont pas de vous?? Cela s'appelle du plagiat dans ce cas

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