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🧭 Gameplay et sensations

Alors là
 Amnesia Collection, c’est pas un jeu, c’est une expĂ©rience de panique pure. Trois Ă©pisodes d’angoisse condensĂ©e oĂč ton seul super-pouvoir, c’est
 de courir. Tu ne combats pas, tu fuis. Tu ne regardes pas les monstres, tu pries pour qu’ils ne te voient pas. Et quand tu commences Ă  perdre la tĂȘte, littĂ©ralement, ton Ă©cran se met Ă  trembler comme si le jeu se moquait de toi. RĂ©sultat : je n’ai jamais autant clignĂ© des yeux IRL pour “vĂ©rifier” que rien ne se cachait derriĂšre moi.

🎬 Univers et ambiance

Chaque jeu a sa propre folie : The Dark Descent te fait explorer un chĂąteau glauque digne d’un cauchemar victorien, A Machine for Pigs t’envoie dans une usine sortie d’un rĂȘve de malade mental, et Justine te fait jouer une sorte de mini-sĂ©rie sadique. Tout est poisseux, humide, et rempli de bruits qui n’existent sĂ»rement pas
 mais que ton cerveau va imaginer quand mĂȘme.

⚙ Technique et style

Ok, c’est pas le jeu le plus beau du monde, mais la magie (ou la malĂ©diction ?) d’Amnesia, c’est son ambiance sonore : chaque craquement, chaque souffle, chaque grincement de porte te fait regretter d’avoir enfilĂ© ton casque audio. Graphiquement, c’est vieillot mais efficace : ce qui compte, c’est ce qu’on ne voit pas. Et crois-moi, c’est souvent pire que ce qu’on voit.

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Candyio

😇

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