Chant de l’astre de la nuit

La nuit tombe sur Teyvat, enveloppant les montagnes, les villes et les mers d’un voile argenté. Là-haut, solitaire et majestueuse, la lune observe en silence, gardienne des secrets du ciel et des promesses non tenues.

Sous sa lumière douce, les souvenirs refont surface. Ceux d’un passé flou, d’un jumeau perdu, d’un monde détruit. Le Voyageur s’arrête un instant, porté par une mélodie qu’il est le seul à entendre — le chant de l’astre de la nuit. Un chant ancien, fait de regrets et d’espoir, de lumière et d’obscurité mêlées.

Peut-être que son frère ou sa sœur, quelque part sous ce même ciel, écoute aussi. Peut-être que ce chant les relie, malgré les frontières, les ennemis, les décisions.

Dans le silence étoilé, une certitude :

la lune n’oublie rien. Et elle attend.