Elle arrose chaque fleur de rosée
et donne au crépuscule un reflet argenté.
La lune veille, silencieuse, sur Teyvat. Son éclat transforme les champs en miroirs, les rivières en rubans de lumière. Mais dans les profondeurs des bois, tout n’est pas paix.
Les ombres hurlent dans la forêt,
effrayant les troupeaux de cerfs,
faisant fuir les oiseaux aux ailes pressées.
Quelque chose rôde, tapi entre les troncs noueux. Une présence ancienne, réveillée par la lumière trop pure de l’astre nocturne.
Et le Voyageur avance, guidé par ce contraste :
la beauté paisible du ciel…
et les murmures inquiétants de la terre.
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