Le sentier menant aux clairières des Asha est étroit, presque effacé. Seuls ceux au cœur tranquille peuvent le trouver. Là-bas, loin du tumulte de Sumeru, les Asha tissent des couronnes de feuilles, chantent avec les lucioles, et regardent la lune se lever sans jamais parler.
Le Voyageur, fatigué de ses combats, s’y arrête.
Il partage un fruit avec l’un d’eux. Aucun mot n’est échangé, mais le silence suffit. Une complicité simple naît entre les branches et les regards.
Dans ce recoin oublié de Teyvat, le monde semble avoir suspendu son souffle.
Et l’on comprend que la sagesse ne se crie pas. Elle pousse. Elle pousse doucement.
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