Alone in the Dark (PS5)

🧭 Gameplay et sensations

Alors là, Alone in the Dark c’est du bon vieux survival-horror à l’ancienne, mais avec une bonne touche moderne. J’ai pris plaisir à me balader (en essayant de ne pas hurler) dans ce manoir aussi classe qu’inquiétant. Le gameplay repose sur l’exploration, la résolution d’énigmes bien tordues et des combats où chaque balle compte. Clairement, ce n’est pas un jeu où tu fonces tête baissée… sauf si tu veux finir en décoration dans un couloir.

🎬 Univers et ambiance

L’ambiance est délicieusement malsaine, entre l’horreur psychologique et le fantastique. Le manoir Derceto, c’est un peu comme un musée hanté où chaque pièce veut ta mort — mais avec goût. Les personnages sont étranges, les dialogues ont ce petit côté théâtral qui rend le tout encore plus savoureux. Et les apparitions ? Toujours au moment où tu crois que t’es en sécurité. Classique, mais efficace.

⚙️ Technique et style

Visuellement, le jeu est superbe sur PS5 : effets de lumière qui mettent les nerfs à rude épreuve, textures détaillées, et une direction artistique digne d’un film noir cauchemardesque. L’ambiance sonore, elle, fait tout le boulot : bruits de pas, craquements, murmures… impossible de rester détendu plus de dix secondes.

🕹️ Mon avis de joueur

J’ai adoré me perdre dans ce manoir déglingué à moitié vivant. Alone in the Dark réussit à mélanger l’angoisse, le mystère et quelques moments tellement étranges que t’en rigoles nerveusement. C’est flippant, c’est classe, et parfois complètement barré. Un vrai retour aux sources du survival-horror avec une bonne dose de charme gothique.